photo illustration non contextetuel

Pour les citoyens qui l'ignorent, l'honorable ville de Mons est en train de faire détruire sa gare et ses abords pour y faire construire une réplique plus petite (faute de place) de la gare "Calatrava" de Liège. Folie des grandeurs ou complexes dit du "politique", beu... Je ne suis ni dans le secret des dieux et encore moins psy pour vous répondre.

Le contexte est planté, voici l'article de presse que j'ai lu et les quelques réflexions faites entre parenthèses rouges.  Tout en sachant encore une fois que la sécurité est un problème majeur.

Mais qu'il est bon de rappeler que ça n'est pas en stigmatisant tel ou tel quartier que ça fait avancer le chmilblique.

Qu'une femme à plus de chance de faire de se faire draguer avec insistance dans une soirée; par un bourgeois beurré comme un p'tit lu recto-verso, que par un travailleur qui c'est se tenir en société ! (là je caricature. Quoi, que) 

Et même si pour se justifier ils publient ce soir, des découvertes incroyables, se sera toujours au deuxième degrés comme ils prennent nos paroles. Rien ne légitime, leurs intentions de recommencer et leurs procédés disproportionnés; un peu comme la photo, ridicule dans un sens comme un autre.

En résumé, oui il faut "sécuriser"... l'art et la manière semblent être à deux vitesses. Rien de nouveau donc sous le soleil de Belgique.

Nerfs d'Acier

Mons : opération de "sécurisation" ce mardi dans le quartier de la gare

mardi 14 mai 2013

Une opération "coup de poing" (opération: "information, discutions, rencontre?")  a commencé mardi vers 10h30 dans le quartier de la gare de Mons. Par cette action, la Ville veut lancer un signal fort (renouer des liens?) à la population de ce quartier précarisé (population en souffrance?) qu'elle refuse de voir devenir une zone de non-droit (savent-ils, eux, leurs droits?).

Une quarantaine de policiers, agents communaux, membres du personnel du Parquet de Mons, de l'AFSCA, de l'ONSS, de l'ISI, des douanes, de la Région wallonne, du SPF Santé Publique et Economie et de l'inspection économique (d'habitude sont-ils tous présent pour LES aider?) sont à pied d'oeuvre (où mettent-ils TOUS, le pied?) dans la quartier de la gare de Mons pendant une bonne partie de la journée de mardi.

L'objectif à terme de l'action est de sécuriser (sécuriser oui mais qui? quoi?) , améliorer le cadre de vie (le cadre de vie de qui?) , stopper l'effet ghetto dans ce quartier (pour avoir une plus belle vue de la gare? ça fait mieux pour les touristes et après?) populaire précarisé de longue date (POURQUOI VOUS N'AVEZ RIEN FAIT AVANT ?).

"Nous ne voulons pas d'une zone de non-droit," (les SDF ont des droits aussi ! et pas qu'eux d'ailleurs) a indiqué Nicolas Martin, bourgmestre faisant fonction de Mons.

"Le but de cette action transversale soutenue par la Ville (cette armada et M.Martin dépende de qui alors... la ville, c'est qui?) est de rencontrer les exigences de base au niveau de la sécurité (pourquoi avant c'était Gaza ?),

de la qualité du logement (projet immobilier en vue peut-être ? Si c'est pour reloger, améliorer, ok. A voir) , entre autres (Ha, plus d'arguments?).

Ce quartier est un des points noirs de Mons (pas une raison pour le rayer de la carte avec ces habitants), une zone criminogène (Vous avez déjà traversé Bruxelles?).

Si cette action coup de poing (vive la douceur des politiques, n'oubliez on vote en 2014) a été très médiatisée (...), c'est pour envoyer un signal fort à la population, aux commerçants , aux contrevenants.

L'action sera répétée de semaine en semaine (et ça recommence encore et encore..). Les résultats de l'opération de mardi seront connus en fin de journée.

Belga

rtbf.be