(humour de M... j'ai pas su résister mrd)

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Puissent les bonnes résolutions se concrétiser au moment opportun.

L’unité des partis politiques est plus qu’une stratégie pour notre survie économique et sociale.

Aucune guerre ne peut être envisageable entre le fédéral et les « autres ». Quoi que l’on en dise ou pense, monsieur Di Rupo est notre premier ministre. Il doit à ce titre jouer son rôle de chef d’orchestre. Les luttes intestines sont dérisoires comparées à ce qui nous attend si le gouvernement échoue. En clair, c’est pas moi, c’est truc qui à dit que… laisse tomber p’tit gars, assis entre deux chaises, on finit toujours le cul à terre ! Ainsi tranche la sagesse populaire. Vous me direz qu’il est simple de philosopher derrière un clavier. Bein, non ! Parce que sur Nerfs d’acier ça discute, ça discute sec je dirais même.

Pour reprendre l’image du chef d’orchestre, qui est un métier extrêmement exigeant, complexe et méconnu, on pourrait l’apparenter à celui de chef d’État, toute proportion gardée. Cet homme, donc, connaît chacun de ses musiciens, forces et faiblesses. Il sait comment employer au mieux les capacités de ses artistes pour en tirer le meilleur parti. Ce virtuose est là pour harmoniser l’ensemble afin que la musique « sorte » sans fausses notes et dune seule « voix ».

Le chef d’orchestre n’est pas sur scène pour se mettre en valeur, il est au service de l’œuvre, de la musique et tout naturellement du public. Son but est atteint lorsque les spectateurs, auditeurs, oublient sa présence et se laissent porter, enivrer, délivrer par les notes, les soupirs ou les silences. Voilà ce qu’est un rassembleur au service d’autrui. Di Rupo ne sera sans doute pas Gunther Herbig, ceci étant dit,  avec des ondes positives, beaucoup d’eau dans son vin et quelques litres de péket, on peut tout imaginer. Un petit délire de "clavier" de temps à autre ça fait du bien…

Votre camarade la plume "légère"

Nd'A